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Suisse Romande

10 ans de solidarité pour la Fondation Compétences Bénévoles

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La « Fondation Compétences Bénévoles » fête cette année ses 10 ans.

Cet organisme vient en aide aux fondations et associations à but non lucratif. L’objectif : leur mettre à disposition des bénévoles avec certaines compétences. La fondation aide des entités qui agissent dans les secteurs de la santé, du social, de la culture, de l’environnement ou du sport. Caroline de Palézieux, chargée de communication de la fondation, nous explique le fonctionnement :

La Fondation possède un réseau d’environ 140 bénévoles. L’animateur radio et télé Jean-Marc Richard, bien connu pour ses engagements, se mobilise lui aussi :

L’idée est avant tout de transmettre des compétences, pour de l’association demandeuse puisse ensuite se développer par elle-même. Caroline de Palézieux :

10 ans, et encore de belles années à venir selon la chargée de communication de la fondation :

Un bel avenir pour la solidarité, c’est aussi l’avis de Jean-Marc Richard. L’animateur radio et télé nous donne un exemple :

PHOTO : Séance de travail (Comité de sélection) copyright Stéphane de Trey createur.c

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Lausanne

Pêche: la régulation des cormorans sur les Trois-lacs acceptée

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Les populations de cormorans, ici dans la réserve naturelle du Fanel sur le lac de Neuchatel, ont mauvaise presse auprès des pêcheurs professionnels (archives). (© KEYSTONE/LAURENT DARBELLAY)

Les députés vaudois ont accepté mardi une motion consistant notamment à réguler les populations de cormorans dans la région des Trois-Lacs. Si tous les partis se sont dit en faveur d'un soutien aux pêcheurs professionnels, les arguments de la gauche, plaidant pour des mesures pacifiques, n'ont pas été entendus.

La motion, venue des rangs PLR et déposée par le député Loïc Bardet, s'émouvait de la baisse drastique des prises de poisson dans le lac de Neuchâtel. "Une forte diminution des captures de corégones a été enregistrée: de 300 tonnes en 2013, elles sont passées à 50 tonnes en 2023", a souligné le rapporteur de la majorité, le PLR Nicolas Suter.

Selon la motion, la situation s'explique par le développement "quasi exponentiel" de la population de cormorans. Elle indique qu'environ 3000 de ces oiseaux sont présents en moyenne annuelle sur le lac de Neuchâtel. "Avec une consommation de minimum 450 grammes [de poisson] par jour, cela fait plus de 492 tonnes prélevées, toutes classes d'âge et espèces confondues", indique-t-elle.

Le texte demande donc de maintenir la population des cormorans à un "niveau supportable pour permettre la survie de la pêche professionnelle". Il demande également des mesures pour la protection des espèces et des écosystèmes des zones lacustres, ainsi qu'une coordination avec les cantons voisins et "différentes mesures de soutien financier".

"Bouc émissaire"

Bien qu'en faveur d'un soutien aux pêcheurs, la gauche s'est opposée aux mesures de régulation des cormorans. "Prendre le cormoran comme bouc émissaire ne va pas résoudre les problèmes de la pêche. La baisse de certains poissons va perdurer, car elle est due à d'autres facteurs", notamment en lien avec le réchauffement climatique, a averti le Vert Alberto Mocchi. "Nous appelons à des mesures plus pacifiques", a ajouté la socialiste Aude Billard.

Selon le rapport de minorité, les mesures d'effarouchement actuelles et les tirs par la police de la faune portent déjà leurs fruits. Les députés signataires craignent que "des tirs trop nombreux" ne produisent un "effet dévastateur" sur la tranquillité de la faune et des oiseaux migrateurs, qui font notamment escale dans la zone de la Grande Cariçaie.

"Pas une question taboue"

Le Conseiller d'Etat Vassilis Venizelos, en charge de l'environnement, a pour sa part déclaré que la régulation des cormorans n'était "pas une question taboue". Elle n'est cependant "qu'une des mesures à disposition face aux problèmes rencontrés actuellement par les pêcheurs professionnels", a-t-il dit.

Au final, la motion a été acceptée par 84 oui, 28 non et 26 abstentions. Elle sera donc transmise au Conseil d'Etat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le TF entérine la piste cyclable entre Plainpalais et Cornavin

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A Genève, la piste cyclable post-Covid entre Plainpalais et Cornavin ne sera pas supprimée. Le Tribunal fédéral a rejeté le recours du Touring club suisse et d'un avocat contre l'autorisation de ces aménagements par la justice genevoise (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, la piste cyclable post-Covid entre Plainpalais et Cornavin ne sera pas supprimée. Le Tribunal fédéral (TF) a rejeté le recours du Touring club suisse (TCS) et d'un avocat contre l'autorisation de ces aménagements par la justice genevoise.

"La qualité pour recourir de l'avocat et du TCS peut rester indécise, puisque le recours est de toute façon mal fondé et doit donc être rejeté", écrit le TF dans un arrêt du 11 février, comme l'ont révélé mardi Le Courrier et la Tribune de Genève. Le TF conclut que la cour cantonale pouvait faire prévaloir les intérêts publics poursuivis par les mesures litigieuses sur ceux des automobilistes défendus par les recourants.

En 2022, le Tribunal administratif de première instance (TAPI) avait donné raison aux recourants. Il jugeait que la suppression, en 2020, d'une des voies dédiées au trafic motorisé en faveur d'une piste cyclable sur le pont de la Coulouvrenière puis le boulevard George-Favon était contraire au droit et disproportionnée.

Ce jugement avait été annulé par la Chambre administrative de la Cour de justice en 2023, sur recours de la Ville de Genève, du Département de la santé et des mobilités (DSM), de plusieurs associations et particuliers. Saisi d'un nouveau recours des opposants, le TF entérine cette piste cyclable.

"Pas disproportionnées"

Les juges de Mon-Repos indiquent que la loi pour une mobilité cohérente et équilibrée (LMCE) consacre le principe d'une priorisation de la mobilité douce et des transports publics dans le centre-ville, "plus particulièrement comme en l'espèce à la frontière avec l'hyper-centre." Si le temps de parcours est péjoré pour le transport individuel motorisé, ce n'est pas de manière excessive.

Le TF confirme que "les mesures contestées reposent sur l'intérêt public à l'amélioration de la sécurité non seulement des cyclistes mais également des piétons qui n'ont plus à partager le trottoir avec ceux-ci." Il reconnaît aussi que ces aménagements offrent davantage de confort et de continuité pour les cyclistes sur l'ensemble du tracé, alors que les recourants voulaient les faire passer ailleurs.

Dès lors, le TF estime ainsi que l'application de la LCME n'a pas été arbitraire et que le principe de la proportionnalité n'a été violé. "Contrairement à ce que pensent les recourants, le fait que le nombre de cycles soit inférieur à celui des véhicules individuels motorisés ne rend pas pour autant disproportionnées les mesures litigieuses", écrit-il.

Cette décision est saluée Actif-trafic qui déplore cinq ans de procédure "pour 800 mètres de peinture jaune" de la part du lobby automobile qui voulait "sacraliser des voies automobiles en plein centre-ville". L'association demande l'application de la loi sur la mobilité douce, votée en 2011. (arrêt 1C_544/2023 du 11 février 2025)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Biodiversité: une motion acceptée de justesse

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La revitalisation de rivières (ici la Chamberonne) pourrait aider à augmenter le canton de Vaud a augmenter sa proportion de surfaces dites de haute qualité (illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil vaudois a accepté de justesse une motion visant la protection et la restauration de 30% du territoire vaudois d'ici 2030, conformément au pacte de Montréal. Le résultat sur ce texte déposé par le Vert Pierre Zwahlen s'est joué à une voix près.

Le Conseil d'Etat allait déjà dans cette direction puisqu'il s'est engagé, dans le cadre de son programme de législature, à constituer un réseau écologique atteignant 15 à 20% du territoire cantonal.

Actuellement, le canton possède 8,8% de "surfaces de haute qualité", selon l'Office fédéral de l'environnement (OFEV). Pour augmenter cette proportion, le gouvernement compte sur plusieurs axes, comme la révision des plans d'affectation communale ainsi que sur des projets de revitalisation dans des zones forestières, près de rivières, et dans des zones agricoles.

"Chèque en blanc"

C'est sur ce dernier élément que les oppositions se sont cristallisées. Le PLR Loïc Bardet, rapporteur de la minorité, a déploré le manque de clarté sur les surfaces agricoles concernées. "Cela donne l'impression de signer un chèque en blanc, sans savoir de quelle devise on parle", a-t-il dit.

"Le pacte de Montréal est difficilement applicable dans le canton de Vaud sans pénaliser les terres arables du canton", a renchéri l'UDC Pierre-André Pernoud, indiquant que son parti voterait pour le classement de la motion. Le PLR s'est joint aux agrariens, estimant que les objectifs actuels de 15 à 20% étaient "déjà très ambitieux".

Pas de "mise sous cloche"

La gauche, appuyée par les Vert'libéraux, a appelé à accepter la motion, soulignant l'enjeu crucial de la biodiversité. Elle a précisé que les surfaces manquantes pouvaient être trouvées dans un premier temps dans le Jura et les Préalpes.

"Le but n'est pas de mettre sous cloche des pans entiers de surfaces agricoles", a souligné le Vert Alberto Mocchi, appelant à renouer le dialogue avec les paysans. "Nous ne voulons pas limiter la production paysanne", a complété son collègue Pierre Zwahlen.

Au moment du vote, la motion a d'abord été classée à une voix près (71 non et 70 oui) avant d'être acceptée, là aussi à une voix près (72 oui et 71 non), à la demande d'un vote nominal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Alerte à la bombe au gymnase de Pully: deux auteurs identifiés

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Une fouille complète des locaux avait été entreprise avec l'aide des spécialistes du déminage et de la brigade canine de la gendarmerie vaudoise (photo symbolique). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Deux adolescents ont reconnu avoir provoqué la fausse alerte à la bombe de mercredi dernier visant le gymnase de Chamblandes à Pully (VD). Il s'agit d'une élève de l'établissement, âgée de 17 ans, et d'un ami à elle, âgé de 18 ans. Aucun objet suspect n'avait été trouvé et personne n'avait été blessé.

C'est une enseignante du gymnase qui avait reçu vers 07h30 un message électronique affirmant que plusieurs engins explosifs avaient été placés dans l'établissement, a indiqué mardi la police cantonale vaudoise dans un communiqué.

Aussitôt avertis, la police de l'Est lausannois et des gendarmes vaudois s'étaient rendus sur place. Ils avaient demandé au personnel présent de sortir du bâtiment. Les cours n'ayant pas débuté, les 750 élèves ainsi qu'une centaine d'enseignants avaient été renvoyés à la maison pour la journée par mesure de précaution.

Une fouille complète des locaux avait été entreprise avec l'aide des spécialistes du déminage et de la brigade canine de la gendarmerie. Elle s'était terminée en début d'après-midi sans qu'un engin explosif n'ait été découvert.

Procédure d'exclusion lancée

Les investigations menées par les enquêteurs se sont dirigées vers une élève de l'établissement et l'une de ses connaissances qui ont reconnu les faits. Il ressort des premiers éléments de l'enquête que cette élève, une mineure âgée de 17 ans, a demandé à un ami, âgé de 18 ans et habitant à Lausanne, tous deux de nationalité espagnole, d'envoyer un message d'alerte à la bombe, explique la police.

Une enquête pénale a été ouverte. Les auteurs ont été auditionnés en qualité de prévenus. Ces deux jeunes risquent des sanctions pénales: jusqu'à trois ans de prison, une amende de plusieurs milliers de francs et une inscription dans leur casier judiciaire pour le majeur et jusqu'à un an de prison pour la mineure.

La direction du gymnase, la direction générale de l'enseignement postobligatoire et le Département de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) "condamnent fermement ce type d'agissement". La procédure d'exclusion de l'élève a été lancée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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